• Accueil
  • Shows
  • Albums
  • Entrevues
  • Variette
  • Le buffet
Jerusalem In My Heart: astucieuse instabilité

Constellation Records

Jerusalem In My Heart: astucieuse instabilité

13 octobre, 2018/Critiques/Constellation Records, Daqa'iq Tudaiq, Jerusalem In My Heart, Radwan Ghazi Moumneh

Si Jerusalem In My Heart n’a jamais été un projet qui explore des sentiers déjà battus, sa nouvelle parution, Daqa’iq Tudaiq, réussit quand même à surprendre.

Lire

Efrim Manuel Menuck, pisseur d’étoiles

26 janvier, 2018/Critiques/A Silver Mt. Zion, Constellation Records, Efrim Manuel Menuck, godspeed you! black emperor

Pissing Stars est une bonne carte de visite pour celles et ceux qui souhaiteraient profiter de l’aventure Efrim Manuel Menuck en direct, mais laisse un peu sur leur faim les auditeurs qui attendent un nouvel album depuis 7 ans

Lire

Joni Void, un génie de l’échantillonnage impersonnel

10 mai, 2017/Critiques/Constellation Records, Joni Void

Le nouvel album du producteur échantilloniste Jean Cousin, en est un bien convaincant, même si quelques petits flous au niveau narratif viennent ponctuer l’opus.

Lire

2015: TOP 5 meilleure musique expérimentale

11 décembre, 2015/Listes, lol, Variette/Colin Stetson & Sarah Neufeld, Constellation Records, gabriel ledoux, godspeed you! black emperor, Jerusalem In My Heart, Poulet Neige, Radwan Ghazi Moumneh, suuns

Ils sont tout de même tous unis sous cette volonté de repousser les limites de ce qui se fait déjà en musique.

Lire

Hiss Tracts : l’univers post au grand complet

25 mai, 2015/Critiques/2015, Constellation Records, godspeed you! black emperor, Hiss Tracts, Shortwave Nights

Tout est léché et travaillé à souhait côté ambiance, mais on est loin des plages musicales plus traditionnelles au genre.

Lire

La poésie sonore de Colin Stetson et Sarah Neufeld

1 mai, 2015/Critiques, Scène locale/Bell Orchestra, Cliff Martinez, colin stetson, Constellation Records, Kronos Quartet, Never were the way she was, philip glass, Sarah Neufeld, The Luyas

On se retrouve devant une quarantaine de minutes de musique impressionniste, purement instrumentale et très sobre au niveau de l’orchestration.

Lire

© 2015 Feu à volonté. Powered by WordPress